Jordanie

Publié le par seb

avec Nad, on a commencé la rédaction d'un road-book. du coup, on est 2 à rediger .... (nad en italique, moi en rouge)

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Ca y est, ns revoila repartis avec seb pr une autre aventure. On est loin d’un pays ou le vin chaud coule à flot, ou on ressent l’atmosphere des fetes … cette année noel sera un peu spécial. Dur de choisir entre la famille et une aventure en amoureux… l’amour a triomphé, et pourtant dieu seul sait comment on aime nos familles respectives. Cette fin d’année sera sous le signe du croissant islamique et ns faisons nos premiers pas au Moyen Orient. Au programme, non pas la neige mais le désert et la vieille pierre, non pas le fois gras et le chevreuil mais plutot le homos fourré ds un pain pita accompagné d’un thé. La destinations q ns avons choisi n’est pas encore trop prisée mais le deviendra forcement… et oui qui n’a pas jamais revé de faire son Indiana Jones sur les traces de Laurence d’Arabie … seb me l’a pas encore avoué mais ca va pas tarder …

A 2 jours de noel, ns voilà en Jordanie, petit pays coincé entre 2 mers, la Morte et la Rouge, encerclé de pays sui font souvent parler d’eux pr de plus ou moins bonnes choses, à la charniere entre le monde meditéranéen et l’orient !

Pdt q la miss chouff ses mails, je lui pique le page blanche. Pr venir en jordanie, on a choisi une organisation a la nadouille, c’est à dire … rien ! ! je m’adapte. arrivé à l’aeroport d’Amman à 1h40 du mat, visa facile à faire sur place, bien qu’on n’est pas compris l’anglais du fonctionnaire. Puis on trouve le bus, mini, pr le centre ville de la capitale. Ce st les passagers qui ns ont abordé pr ns expliquer. Super sympa, et presq tt le monde parle anglais. Ce qui me choque le plus : ils st gentils et accueillants. Ma voisine d’avion ns a donné son tel privé pr ns aider, pr taxi, chauffeur … donc a on demarré, le chauffeur de bus ns arrete avant le terminus pr ns trouver un taxi qui finira le trajet. Le taxi ns depose à l’hotel du guide après qq hésitations . il me fait boire un café turc (chaud très sucré), difficile de refuser, aucune aide de nadouille, malgré son addiction au café, donc il sera dur dur de dormir pr moi. Il est deja 3h30. on monte ds l’hotel, et la, pas de chance, il faut une reservation, pas de place pr la nuit. On en rigole de fatigue. On tente 2 hotels, fermés, avant de reveiller un vieux barbu. Il ns propose une chambre à 2 lits, sans douche ni toilettes, on accepte biensur. Et ce n’est q 6 JD (dollars jordanien, qui vaut autant q l’euro ! !)c’est correcte. Mais il fait froid, surtt pr nadouille : elle dort habillée, polaires, sac de couchage, 2 couvertures et une couette lourde ! ! il lui manq son radiateur naturel …

Malgré l’heure tardive, difficile de s’endormir.

1ere impression super positive, q des gens sympa et prévenants, et nadouille est comme un poisson ds la mer rouge, tt le monde rigole …

seb m’a volé la primeure et il est bcp plus factuel q moi ; un styke bcp plus épuré mais qui a le merite d’aller droit au but. Je voulais une fois de plus rédiger une bonne dizaine de pages sans q finalement on sache pas bien ni ou on etait et c qu’on y avait fait. Mais " ca l’a pas de bon sens " comme dirait mes amis les québécois.

L’avion du Turkisch airlaines ( qui n’est meme pas une compagnie blacklistée, eh oui on s’embourgeoise une peu) decolle en ce vendredi 21 décembre pr ns deposer tt en douceur à Istambul, ds la zone duty free q l’on pourrait renommé " le paradis de la clope ", j’entends par la q j’ai jms vu , oh grd jms, un aussi grd duty free. De quoi saouler et enfumer tt un regiment de chtimis, celebre pr leur grde resistance aux substances illicites !

Apres 2 ou 3 heures d’attente, un autre repas turc ns attend, histoire d’etre bien calé en arrivant à Amman.

Petit aéroport ss pretention et encore moins qd il est 3h du matin et q les yeux collent, et pourtant notre premiere impression est excellente. En plus d’avoir de très beaux yeux, les jordaniens semblent tres accueillants et pas interessés … affaire à suivre !

On monte ds le dernier bus pr Amman centre en compagnie de jordaniens qui ne semblent pas du tt souffrir de la fatigue (je pense q j’aurais pu dormir un peu n’importe ou … meme coincé entre les toilettes et la salle de prière de l’aéroport) musique arabe ds le bus, petite discussion des jordaniens entre eux et hop ; en 2 tps 3 mvts, ns voilà sur le trottoir (non non seb a beau avoir la barbe, il est pas prêt a me faire tapiner !) des quartiers d’affaires, tous neufs . le chauffeur de bus ns trouve gaiement un taxi driver fort sympathique qui s’empresse de ns offrir un café turc, affreusement sucré, capable de reveiller les morts. mEme une gorgée de ce breuvage ne m’empechera pas de dormir ! ! ( tu m’etonnes, c moi qui a été obligé de tt boire) apres une arrivée de nuit sur le theatre romain, on fait une halte ds un hotel au doux nom de " Amman palace hotel " qui semble pas trop ds nos prix ! on remonte ds le taxi qui ns depose au vrai " palace hotel " tant attendu. Hotel plein, comment est ce possible en jordanie au mois de decembre … moi qui avait rassuré mon petit seb sur la faible possibilité de se retrouver à la rue à 4h du mat ds la capitale de la jordanie. Allez 2 autres tentatives echouées et le caire hotel ns tend les bras … un homme d’un certain age barbu, dormant sur son matelas derriere l’accueil du dit hotel. Il ns accueille généreusement à un prix modique… une conclusion à cette 1ere nuit en territoire méconnu : ca caille grave ! ! en temoigne la description de mes couches vestimentaires par seb !

Recit validé par chouchou, loulou va enchainer …

 

Samedi 22

Je voulais utiliser l’argument du stylo qui marche plus pr arreter la pr ce soir, mais le naturel arabe de seb ressort " au turbin " me dit il ! alors biensur je l’imagine deja " en haut de l’affiche " avec son lasso et sa tenue en cuir à la nouvelle mode d’indiana jones, en train de ma faire frénétiquement la danse du ventre … quedal ! il semble q je sois de corvée de redaction du carnet de route … mais vs savez bien q de tte maniere vs n’arriverez pas à lire le recit jusq la sans vs lasser ! une petite galette bretonne et ca repart

Lever 11h … 12h (je sais pas c qui s’est passé pdt les 3 petits points, mais le fait est q ns etions reactifs et prets à decoller à 12h15). je suis venere, on a loupé le 1er appel de la prière mais bon il y en aura 4 autres derrière ds la journée. Petite douche chaude histoire de me decongeler, petite madeleine fourré à la date offerte par notre barbu, petite discussion (ma foi fort sympathiq) qui ns renseigne sur les bus et ns voilà ou ns etions hier, mais avec de l’animation.

1ere immpresssion : comme ds tt les pays arabes q j’ai visités (en definituve assez peu), Eve est pas souvent de sortie, des hommes en veux tu en voilà, mais des femmes on en rencontrepeu ! elles st voilées pr la plupart mais le sourire aux levres des jordaniens harmonise l’ensemble. je suis impressionnée par le bon niveau d’anglais des jordaniens q j’aborde ds la rue ! que c’est agréable de se faire comprendre, surt qd on revient de chine !

la King Faisal Street est remplie d’echoppes de tissus (avec des robes ou djelabah magnifiques ! couleurs sobres et perles… ah peut etre q je viderai ma bourcette pr un autre de ces achats inutiles). Elle ns mene, sous un beau soleil d’hiver, à la mosquée Al Husseini ds la vieille ville, aux 2 minarets élégants. Un petit tour sur le marché aux fruits et légumes (le chou ressemble plus à la navette spaciale d’ET qu’à notre chou européen) à la recherche de la citadelle et du theatre romain. Echec, on se retrouve ds les beaux quartiers de Jubal Amman, plutot residentiel parsemé d’ambassades. un petit expresso ds un mini bar tenu par une irlandaise et on continue de déambuler ds les rues (coin des animaleries, meubles pr les riches). Mais la faim commence à se faire sentir ; une seule issue, se restaurer là ou l’on peut un samedi aprem (car tt est fermé le samedi aprem, l’equivalent du dimanche). Au menu, pita, pois chiches à l’huile d’olive pimenté, purée de pois chiches, croquettes au sesame fries , de quoi bien atténuer notre faim. Allez la nuit va bientôt tomber, il est 15h30, en route pr la citadelle et sa belle vue sur la ville au soleil couchant. Ce st les ruines d’une citadelle bizantine q l’on foule, signe d’un faste passé de par son étendue.
 
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Là on rencontre les premiers touristes mais rien de bien effrayant ! je ne peux pas m’empecher de me faire prendre en photo ...
 

 
avec 2 militaires (jeunes et beaux, comme par hasard ! !). je reprends les reines, madame est en vacances, ou greve du stylo. Ns redescendons de notre promontoire apres un bon moment d’errance sous une lumiere de fin de journée. On tente de trouver Darat Al Funun, un centre d’art. bien qu’on soit ds la bonne rue, rien, excepté des mosquées verte ds la nuit tombante, telles des ovni (elles st les seules a etre eclairées la nuit, et toutes de la meme couleur verte). Du coup, on part au hasard ds les beaux quartiers, seuls ds la night. " Meme pas peur ", personne pr ns effrayer. On fini par revenir ds la down town, relativement animé, qq néons. Attiré comme des mouches par les dvd copiés, on entre. On y rencontre un marocain et ses 2 enfants, vivants ici depuis un an. On papote, demande conseils sur les endroits a voir, la vie ici … pas très reluisant le tableau selon lui, gens moyennement sympa ! ! ! !, nourriture dégueux, q Petra de valable a voir. Il ns laisse son tel au bout de 15 min de discussion. De quoi échauder des touristes de base, tjs " meme pas peur ". On n’achete meme pas de dvd, sosu titres en arabe uniquement. On craquera 10 min plus tard ds un autre magasin, mais sous titre en anglais selon le vendeur, on verra, on se ruinera pas …

juste avant de rentrer, on passe boire un verre ds un bar routard, plein de drapeaux au balcon. Surprise, q des locaux fumant le narguilé, jouant aux cartes et buvant du thé. On reste, biensur. Et le café de nadouille est turc, elle déteste. Ayant joué la sécurité avec mon coca, ca me va. On y sera rester la un long moment, juste le tps de draguer nadouille trankilou, et de faire plus ample connaissance … et ca marche, je la ramene a l’hotel … hihhihihi. La commence ? une romance ? non, c’est deja parti mon kiki !, une recherche de voiture sur la toile. Renseignement pris pr demain, pr comparer avec le local. Qq mails, qq lignes du journal et au dodo.


Dimanche 23

" le soleil veint de se lever, encore une belle journée, c’est l’ami jordanie ", bon je vs l’accorde, la rime est pourrie, mais j’ai trouvé q ca de valable en ce beau soir de noel 2007. Eh oui, c ‘est noel ! encore une année bien remplie qui va s’achever pr laisser place à une nouvelle pleine d’aventure et de bonheur. Textuellement, ns sommes le dimanche 23, mais bien evidemment j’ai un train de retard ds la redaction du carnet de route. Alors je ne peux pas m’empecher de souhaiter en avance ds le texte, mais pile poil a l’heure ds les dires, un joyeux 1er noel à mon seb adoré. Q ce noel en annonce plein d’autres …

donc le soleil veint de se lever sur Amman, et ns reste un site à decouvrir a Amman : le teahtre romain. 5 min à peine de marche de l’hotel sous un beau soleil d’hiver, et ns y voilà. Theatre a coté duquel se dressent un musée folklorique des traditions populaires (q ns allons visité en tres peu de tps) et un autre petit theatre romain (version liliputienne) refait, servant peut etre à qq manifestations actuelles mais qui ne presente aucun réel interet. Le grd theatre romain, quant a lui, est interessant à voir car en bon état, les marches de l’amphi st plutot abruptes, mais la regle d’or de seb est " prenons de la hauteur ". une fois en haut, on apercoit le flanc de la colline opposée sous les couleurs chaudes du lever, avec qq habitations mais réservées aux plus téméraires.

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Apres j’entame la session telephone ds l’espoir de trouver le plus vite possibleune voiture de loc sans avoir à parcourir la ville. Apres deliberation, ns prendrons l’agence Nator, un savoureux melange entre un prix correct et un contact avec le loueur à la jordanienne. Et ca veut tt dire, mais je crois q la gentillesse des jordaniens merite a elle seule un paragraphe avec mention spéciale. On se depeche donc de rentrer à l’hotel vers 10h du mat car le loueur passe ns chercher pr ns accompagner à son agence. Un papi à l’air bien cécontracté arrive et ns salue avec grde courtoisie. Ns montons ds une Hyundai qui s’avéra etre notre cheval de trait pr notre periple jordanien. Il ns en coutera 22 JD/j, ce qui ns paraît correcte. Ds l’agence, on rencontre un couple de francais habitant en Syrie, en vacances en jordanie pr une semaine. On discute comme il se doit de leur vie d’enseignants en syrie autour d’une tasse de café, et ns ns decidons à partir à 11h30 ! !

1er etape : Madaba au sud d’Amman. en route on découvre la banlieue d’Amman, panorama desertique et succession de belles demeures aux formes bizzaroides. Visiblement en jordanie, il n’y a aucune contrainte architecturale, si tu as de l’argent, tu construie la maison de tes reves, un point c’est tt. Ce petit passage ds les quartiers bourgeois me laisse penser qu’Amman est une ville vivable pr un occidental. Il n’existe pas un fossé enorme entre riches et pauvres. Tt le monde semble avoir un toit (aucun mendiant ds la rue) meme si ce toit peut etre en toile, tt le monde semble manger a sa faim, vivant pr bcp en autarcie (ds les villages)… une impression tres encourageante sur la jordanie et son devenir. De plus Amman est une capitale sûre (taux de criminalité nul) ou le poids de la religion se fait pas ressentir.

Non loin de la capitale, ns voilà apres 2h de voiture à Madaba, halte plaisante sur la fameuse route des rois ou ns sommes. Ambiance decontractée ds cette petite ville, connue pr ses mosaiques byzantines, q ns avons tt le plaisir de contempler au sein du parc archeologique. Elle vit de son savoir faire ancestral et continue de former de jeunes artisans mosaistes. Une petite visite de la ville, un tour au parc archeologique et à l’eglise des apotres et ns repartons sur la route du roi pr rejoindre theoriquement le village de Makawir, au bout du monde. 

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Ns empruntons donc la bifurcation direction Makawir qui ns conduira au gré du vent au " dead sea panoramic complex ", un ensemble de resto, musée et table d’orientation qui ns donne un avant gout de la mer morte. Certes, elle est loin et un voile lumineux fausse la vue panoramique q ns avons. Cependant le cadre splendide pose les 1er jalons de ce q ns allons decouvrir plus loin. On s’attarde nu peu au musée, qui ns fournit qq explications instructives sur l’evolution de la mer morte au fil du tps, sa constitution. Le musée tire eggalement la sonnette d’alarme sur le devenir à la longevité de la mer morte.

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Allez, trop de culture tue la culture, ns repartons pr atteindre notre objectif final de la journée, Makewir. Qq km de route encore, et quelle ne fut notre surprise de, non pas ns retrouver ds le village du bout du monde, mais sur la route du bout du monde. Cette dernière s’arrete aux sources chaudes d’Hammamat Ma-in. Cherchez l’erreur ! il est pas loin de 17h, on a ni envie de se baigner par 10°C, ni envie de chercher l’erreur … du coup on repart direction Madaba pr chercher un logement (enfin un toit en dur pr dormir), la q---- entre les jambes, mais en charmante compagnie. Non non, ce n’est pas une farce, mais bien Farces qui est à bord. Suite à notre echec, on raccompagne un des gardiens de Hammamat, qui habite sur Madana. Et là, on est plus au " bout " de nos surprises. Petite description du personnage pr planter le decor : homme de 36 ans, vivant encore chez ses parents (là, c’est qd meme mal parti, Tanguy ou vieux garcons ?), gardien de Hammamat Ma’in (équivalent douanier francais niveau charge de travail !), grande fierté familiale. Particularité physique : lui reste 3 dents sur 36 en bas à gauche, et de surcroit noires. Particularité linguistique : 10 mots d’anglais à son actif qu’il utilise en boucle afin d’impressionner papa et mama. Particularité vestimentaire : endosse avec fierté l’uniforme et ce depuis de nombreuses années (étant ancien militaire). Particularité culturelle : diffuse (la encore fierement) le livret de famille uniquement constitué de photos de lui meme. Distinction sociale : possede un tv grd format avec multiples chaines etrangeres, mais n’a pas investi au préable ds le chauffage, le lit, la cuisine et autres biens futiles. Enfin particularité spécial Fares : gentillesse extreme, voir debordante qui ns a deroutés au début mais qui s’avère etre sincere !

Nadouille a failli oublier de citer sa citation favorite : "hé, no problem, no problem ! ! "

Fares sur la banquette arriere de la hyundai tente de converser mais ns avons du mal à saisir toutes les subtilités de son anglais. Dur dur de communiquer ! ds une incomprehension commune, on n’en oublie pas de contempler le coucher de soleil rose pastel assez étonnant mais néanmoins magnifique (qui pourrait faire penser à un vieux décor de cinéma).

Arrivés à destination en face de Fares’ home, on est gentiment convié à boire le thé. Aie aie aie … c’était sans compter sur la grde hospitalité des jordaniens ! ns sommes présentés à toute la famille en entrant ds la maison de Fares. Le papa de 70 ans qui semble marquer par le poids des années, le tient très bazané et revetu d’une djelaba grise ; la mama au teint clair et frais revetue d’une dizaine de couches marchant voutée ; le frère bien plus jeune que Fares qui reve de devenir medecin ; la petite sœur de 10 ans intriguée par notre présence ; et enfin la cousine en survet vert agée de 16 ans qui reve de communiquer avec nous et qui le fait par le biais de sourires. Nous pénétrons donc ds leur maison ; certes des murs en beton mais des portes qui ne ferment pas ; 3 pieces de vie (le salon : chambre des hommes ; une chambre vide et une cuisine), mobilier restreint (buffet mettant en evidence la tv, les matelas à meme le sol, et qq coussins). Ds le salon trone en roi le chauffage électrique qu’ils posent délicatement à coté de leurs hotes. Après 1h30 de blancs, entrecoupés de qq phrases d’anglais, le thé arrive. un thé délicieux q ns dégustons avec Fares et sa famille . ns sommes très touchés par cette invitation mais ns avons du mal à communiquer. Quel dommage ! heureusement la tv est là pr meubler les blancs. Ns tentons en vain une echappé ; le repas est servi et ns devons faire honneur au plat. Seuls Fares et son frère ns accompagne pr le diner : pita, sardine, fromage, lait maison, vache qui rit, paté à l’aspect peu encourageant, thon à l’huile et enfin le meilleur champignons aux oignons ; le tout arrosé de coca cola. Les languent se delient pdt le repas ; on parle de tt et de rien, Fares ns sort toutes ses photos de militaires ; on montre nos passeports, j’essaie de faire parler la jeune cousine qui ns regarde manger, le papa est avachi sur le canapé et regarde du catch à la tv, la mama est deja au lit. Après avoir fossé à maintes reprises l’invitation à dormir (idée peu judicieuse car on ne comptait pas aller se faire amputer les pieds le lendemain pr causes de gelures !). on remercie Farces et sa famille pr leur gentillesse et ns promettons (sachant q la promesse sera difficile à tenir !) de revenir voir Fares aux sources chaudes le lendemain soir et de revenir boire le thé ds la famille. Ns savions q ns ne pourrions pas, compte tenue de la durée de notre voyage en jordanie. Mais ns fumes contraint de le promettre pr pouvoir ns echapper. Cette experience au cœur d’une famille jordanienne fut atypique mais humainement captivante. Certes la communication fut limitée mais ns avons été frappés de plein fouet par l’hospitalité arabe, version jordanienne. Quel bonheur ! et au regard de notre periple, cette rencontre est loin d’etre exceptionnelle : les jordaniens ont un sens de l’accueil hors du commun qui meriterait qu’on en prenne de la graine !

Voilà on repart en compagnie de Fares, le ventre plein à la recherche d’un hotel. Il ns guide jusqu’au 4 étoiles de la ville q ns refusons direct, puis on essaie 2 autres hotels, pleins à craquer. Enfin la 4eme tentative sera la bonne. Ce soir ns dormirons ds une chambre de 4 lits, avec chauffage et salle de bains privative, le luxe quoi ! une petite marche nocturne ds Madaba et un jus d’orange frais , et ns sommes prets à aller ns coucher après une journée bien remplie …

Bonne nuit les petits ! !



lundi 24

 



redaction en cours, ca va etre long, je vs previent de suite !!

Publié dans voyages

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